Il est possible que j’aie une compréhension un peu étroite de la phrase de Lautréamont “Tu ne créeras pas le malheur dans tes œuvres.”
J’y vois une sorte de commandement si ce n’est un avertissement. Mais il faut sans doute lire cette phrase de façon plus subtile. Les auteurs d’œuvres de fiction ne créent pas le malheur à proprement parler.
Continuer la lecture de Lautréamont contre la mélancolie dangereuseLorsque Zola crée le personnage de Thérèse Raquin, il crée un destin sombre. Le crime, puis le suicide donnent à ce roman une coloration de malheur. Dans beaucoup de romans de Zola ce malheur qu’il semble créer avec une certaine délectation.
Continuer la lecture de Zola et les créateurs de malheurVoici une liste d’outils que l’on peut avoir toujours à portée de main…
Continuer la lecture de 76 outils gratuitsDans un monde d’overdose d’information, il est bénéfique de prendre du recul et de couper Internet. Cela permet non seulement de se ressourcer et d’expérimenter ce qu’il se passe en nous.
Continuer la lecture de Les bienfaits de la diète média1. L’œuvre de Michel Houellebecq peut être considérée comme existentialiste en raison de certains thèmes récurrents qu’elle aborde, tels que la solitude, la vacuité existentielle et la quête de sens.
Continuer la lecture de Deux ancêtres inattendus de Houellebecq: Sartre et HuysmansLe nouveau monde, comment le voyez-vous ?
On parle de nouveau paradigme.
La discussion a vrillé pendant la crise sanitaire. Et aujourd’hui ?
Continuer la lecture de Êtes-vous prêt pour le nouveau monde?Houellebecq sait mieux qu’aucun autre écrivain dépeindre la décadence de notre époque.
Continuer la lecture de Houellebecq à Rouen en pleine décadenceSouvent on hésite.
Voici cent raisons de publier.
Continuer la lecture de 100 bonnes raisons de publierVous voulez publier un tweet? Un article? Et vous ne le faites pas.
Par peur d’offenser quelqu’un ?
Continuer la lecture de Qui craignez-vous d’offenser?Thomas empoigna la cognée. Il posa une buche sur le billot. Il leva les bras, la hache s’abattit sur sa cible. La bûche se fendit en deux. C’était simple. C’était concret. Il suffisait de répéter l’opération. C’était comme un jeu.
C’était cela qu’il était venu chercher. Il avait fait onze heures d’avion, avait liquidé ses actions d’entreprise pour ça. Pour toucher du doigt cette sensation. Une sensation brute. Crue et vraie. Ce souffle vital qu’il avait perdu pendant toutes ces années à penser « marketing », « management » et « ratios financiers ».
Continuer la lecture de Comment méditer avec une hache